Nous croyons que les jeunes autochtones sont des guérisseurs et des artisans du changement, et qu’avec le soutien et les ressources appropriés, ils peuvent inspirer et élever d’autres jeunes autochtones et leurs communautés! Le projet Ambassadeurs de l’espoir de We Matter est un programme de mentorat qui aide les jeunes autochtones à établir des liens, à s’élever, à inspirer et à apporter des changements.
Les Ambassadeurs de l’espoir sont des jeunes autochtones âgés de 16 à 26 ans qui partagent des messages d’espoir, de culture et de force au sein de leur propre communauté et de la région environnante. À l’aide des trousses d’outils We Matter, et avec le soutien de l’équipe We Matter, ils font des présentations sur les difficultés, l’espoir et la guérison dans les écoles et les communautés. Ils vivent par l’exemple afin d’inspirer et d’établir des liens avec d’autres jeunes autochtones, de briser la stigmatisation de la santé mentale et du suicide, et de promouvoir des communautés saines.
Es-tu un jeune autochtone qui se consacre à la promotion de l’espoir et de la vie au sein de sa communauté et de sa région?
We Matter recrute de nouveaux ambassadeurs nationaux chaque printemps!
Téléchargez l’application 2020/2021 ci-dessous ici:
DATE LIMITE DE CANDIDATURE: 27 mars 2020.
Que faut-il pour être un ambassadeur de l’espoir?
Pour être un ambassadeur ou une ambassadrice de l’espoir, tu dois être une personne autochtone (Métis, Inuit ou Premières nations) âgée de 16 à 26 ans, prête et dévouée à promouvoir l’espoir et la vie dans ta région. Tu devras participer à un forum de l’espoir #HopeForum We Matter et Facebook d’une semaine : suivre la formation des ambassadeurs nationaux de l’espoir, s’engager dans le programme pour un minimum d’un an, et prendre une direction indépendante dans sa propre région. Le programme est un mentorat avec possibilité de recevoir une rémunération.
Comment puis-je devenir ambassadrice ou ambassadeur de l’espoir?
Les candidatures pour devenir Ambassadeur national de l’espoir seront ouvertes ici au printemps 2020. Le processus de demande comportera trois volets : une demande écrite, une soumission de vidéo et une entrevue avec l’équipe We Matter. Nous avons hâte de rencontrer les jeunes autochtones qui veulent utiliser leur voix pour créer le changement!
Envoie un courriel à hopeambassadors@wemattercampaign.org pour toute question ou pour inviter un ambassadeur de l’espoir à animer une séance sur l’espoir, la culture et la force dans ta région.
Voici les Ambassadeurs de l’espoir 2019/2020 :
Matt, du YMCA, a déclaré que « c’était vraiment spécial et les jeunes en parlent beaucoup depuis ». Une autre personne, au nom de l’Association canadienne pour les Nations Unies, a écrit : « Jenna a une présence incroyable; tout le monde était très engagé, et la simulation a donné lieu à des plans d’action qui stimule la réflexion ». En tant que conseillère en santé holistique, Jenna concentre son travail avec les jeunes sur le bien-être mental et la vie en fonction de leur dessein le plus élevé.
Je travaille en tant que travailleuse en éducation autochtone auprès des élèves de la maternelle à la 12e année. Travailler avec les enfants a toujours été ma passion. J’ai trouvé une passion encore plus profonde en devenant ambassadrice de la jeunesse autochtone. J’aime aider les jeunes autochtones à avoir confiance en eux et leur montrer qu’on prend toujours soin d’eux. Je pense qu’il est aussi important de leur faire savoir que c’est correct de parler de santé mentale, et que c’est correct de ne pas se sentir bien. J’essaie d’être un exemple positif pour mes élèves en leur donnant l’espace nécessaire pour parler de ces questions et pour toujours être eux-mêmes.
Elle est une bénévole active dans sa communauté et siège au conseil d’administration de la Ness Creek Cultural and Recreational Society (NCCRS). Autumn a récemment reçu le Prix des jeunes femmes influentes (Young Women Leaders Award) âgées de 18 à 29 ans, qui reconnaît les personnes de la relève métisse qui sont des modèles inspirants dans leur carrière, leurs réalisations ou le développement de leur communauté. Autumn est actuellement vice-présidente des affaires étudiantes pour le syndicat des étudiants de l’Université de la Saskatchewan. Elle travaillait auparavant comme travailleuse du service de placement d’urgence en famille d’accueil et se consacre à la prestation de soins et d’éducation tenant compte des traumatismes.
Je suis actuellement une agente de traitement de cas pour un programme de soutien préemploi et une facilitatrice certifiée d’Awaken the Spirit. Je siège au conseil du comité de planification communautaire globale, je suis actuellement la cheffe junior de ma communauté, j’ai fait partie du comité directeur de l’Opaskwayak Educational Authority et j’ai fait du bénévolat dans le cadre de nombreuses activités communautaires. Ma passion et mon rêve est d’aider les gens de ma communauté à s’améliorer et de les encadrer pour qu’ils atteignent leurs objectifs. Aider les gens est ma raison d’être, je le sais parce que les anciens m’ont surnommée « la perle » de ma communauté, ce dont je suis toujours reconnaissante et honorée.
Je vis actuellement à Edmonton, en Alberta, avec mon épouse et deux chats. Je fais du bénévolat pour de nombreux organismes, en plus d’être un ambassadeur national de l’espoir We Matter. Mon désir d’aider les autres est ce qui m’a poussé à retourner aux études et à devenir travailleur social. J’aime beaucoup passer du temps avec les jeunes LGBTQ et les jeunes à deux esprits. Je suis un géocacheur passionné et un défenseur des droits des animaux. Je suis également végétalien et j’aime essayer de cuisiner de nouveaux plats pour ma femme et moi.
Je suis une ambassadrice de l’espoir et défenseure de la santé mentale. Je crois fermement à la guérison de la génération future et j’espère devenir thérapeute pour les jeunes autochtones une fois que j’aurai terminé mon doctorat. Je suis également passionnée par la défense des jeunes et je m’exprime franchement. Je partage le récit des difficultés que j’ai vécues avec les jeunes et j’espère que mon histoire leur donnera l’inspiration nécessaire pour les encourager à continuer.
Je travaille actuellement avec les jeunes des quartiers déshérités, qui à Saskatoon sont surtout des jeunes autochtones et des nouveaux arrivants. Je reprendrai mes études à l’Université de la Saskatchewan en janvier pour terminer ma dernière année d’études en sciences politiques. Jusqu’à présent, j’ai obtenu un certificat en gouvernance et politique autochtones et une mineure en sociologie de l’Université de la Saskatchewan. Ce qui me motive le plus, c’est de voir les jeunes autochtones s’épanouir et les femmes autochtones retrouver les postes de direction qui leur reviennent de droit.
Je travaille dans une école et j’aime m’impliquer avec We Matter, je rencontre beaucoup de personnes intéressantes avec qui je peux partager. Mes passions sont mes passe-temps. Il fallait que je pense à ce que je voulais être dans la vie, si bien que j’ai décidé de faire des films ou des montages pour que les gens s’amusent et rient ensemble.
Je suis un Inninu Napew (homme cri) de Makeso Sakahikan (Fox Lake). Je travaille actuellement pour la Nation crie de Fox Lake à l’élaboration et à la mise en œuvre de programmes de loisirs et de mieux-être et à l’organisation d’événements communautaires. Je suis profondément intéressé par l’éducation et la sensibilisation à la santé mentale, l’apprentissage de ma langue, l’autonomisation des jeunes autochtones, la santé et la nutrition.
Elle détient un baccalauréat spécialisé en sciences politiques avec une concentration en relations internationales, et poursuit actuellement une maîtrise en études autochtones à l’Université du Manitoba. Elle est une ardente défenseure des droits des Autochtones et de l’égalité pour tous les peuples. Ally a contribué de nombreuses façons à promouvoir la diversité et l’inclusion des femmes, des peuples autochtones et d’autres groupes marginalisés en politique. C’est une jeune femme forte qui utilise sa voix pour amplifier les voix qui sont trop souvent ignorées, en particulier celles des femmes autochtones.
J’ai fait des études en travail social et je travaille maintenant comme spécialiste de la prévention et de la sensibilisation pour les services aux enfants et aux familles du KTC. Aider les autres est ma passion. Plus précisément, aider les familles et les jeunes autochtones. Par bonheur, je peux faire ça tous les jours dans mon travail.
Son but est de devenir artothérapeute pour les jeunes, en favorisant la guérison et l’espoir au moyen de l’art et de la musique. En tant qu’activiste, Rain se bat pour les droits des personnes handicapées, des personnes homosexuelles, des personnes de couleur, des femmes, des personnes souffrant de maladies mentales et de toxicomanie et des personnes vivant dans la pauvreté. Iel croit aux droits des autochtones, à l’accessibilité, à la réduction des méfaits, aux soins communautaires et à la gratuité de l’éducation, des soins de santé et du logement. Iel est anticapitalistes, pro-souveraineté autochtone, et croit en la valeur inhérente de chaque individu indépendamment de ses capacités physiques ou mentales.
Chyler aime consacrer son temps à l’écriture, à créer des mondes fantastiques dans lesquels les jeunes autochtones peuvent se reconnaître. Elle aime aussi créer des espaces de rencontre pour les jeunes autochtones de sa ville, où ils peuvent être eux-mêmes sans aucune crainte. Récupérer et recréer la communauté est quelque chose qui tient une place spéciale dans son cœur.
Elle croit aussi à la lutte pour les femmes et les droits de tous les peuples, à l’action contre la crise climatique et à la lutte pour la justice dans un système d’injustice. Natalia veut sensibiliser les gens au taux de suicide dans les communautés autochtones et faire la lumière sur la santé mentale. Avec amour, résilience, unité et culture, elle croit que les jeunes d’aujourd’hui peuvent créer un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour les générations futures. « Il est facile de tomber sur le mauvais chemin quand on est continuellement exposé à l’alcoolisme et à la toxicomanie, mais notre destin n’est pas coulé dans le béton, c’est quelque chose que nous faisons nôtre – nous devons briser ces cycles pour pouvoir vivre la vie que nous sommes censés vivre, et non pas ce que dictent les stéréotypes ou les statistiques. » – Natalia
Shaylene reconnaît aussi fièrement qu’elle a des racines cries du Manitoba et des racines anishinaabe de l’Ontario du côté de sa mère. Elle a subi les effets des traumatismes intergénérationnels dans sa vie familiale (pauvreté, mauvais traitements) pendant ses jeunes années. Cependant, malgré son passé, Shaylene a choisi de surmonter les obstacles pour créer sa propre vie en choisissant de marcher sur la route rouge; en faisant continuellement de sa culture l’avant-plan de sa guérison et de son apprentissage; et en poursuivant son parcours scolaire. La contribution à la communauté a toujours tenu à cœur à Shaylene depuis qu’elle a trouvé la guérison en 2013. Elle a aidé à promouvoir l’éducation en matière de santé mentale et de toxicomanie, l’inclusion des Autochtones et à faire connaître les réalités auxquelles font face les communautés et les peuples autochtones. Elle est présentement étudiante à l’Université Mount Royal, où elle complète un baccalauréat ès arts en psychologie. Son objectif à long terme est de devenir psychologue agréée et de travailler avec les jeunes autochtones dans le secteur de la santé mentale et de la toxicomanie.
Il travaille avec le clan de l’Ours de Brandon en tant que travailleur de proximité, remplissant les objectifs fixés par le Conseil des femmes des clans de l’Ours, comme la coordination d’une patrouille simulée de jeunes. Une partie importante de sa vie est la culture et les cérémonies qui l’aident à garder son équilibre. Un autre aspect important est la langue crie qu’il apprend et qui ne lui a malheureusement pas été transmise en grandissant. Certains de ses intérêts sont l’haltérophilie, l’écriture créative, le chant, le dessin et les sports. Pendant plus de quatre ans, Marshall a été un défenseur des enfants, travaillant dans des foyers de groupe et des ressources de placement d’urgence en tant que travailleur de première ligne. C’est pendant cette période qu’il a commencé à se passionner pour la protection de l’enfance. Marshall croit que les jeunes sont des dons de notre Créateur qui possèdent une sagesse et des enseignements qui peuvent changer le monde. Ses objectifs pour l’avenir sont de continuer à défendre les intérêts des groupes autochtones de sa région, d’apprendre à parler couramment le cri, de terminer ses études de premier cycle et de suivre le programme de droit autochtone de la faculté de droit de l’Université Victoria.
Allyson croit que nous avons tous un dessein et qu’il est important de faire comprendre à nos jeunes qu’ils comptent. Ayant grandi en surmontant la pauvreté, en vivant autour de l’alcoolisme et en guérissant de la violence, elle a développé une passion pour le service aux autres par le biais de récits, de la sensibilisation à la santé mentale et de la défense des droits. Allyson a pour mission d’habiliter les jeunes, les entrepreneurs et les leaders du monde entier en démontrant que, peu importe d’où ils viennent et ce qu’ils ont vécu dans leur vie, ils ont le pouvoir de changer les choses. Transforme toi en la personne que tu es destiné à devenir!
Danika a terminé son baccalauréat en psychologie et en études autochtones, et poursuit actuellement une maîtrise ès arts en psychologie du counseling à l’Université Yorkville. Danika est passionnée par les droits des autochtones et la santé mentale et croit que les services de santé mentale doivent être rendus disponibles à tous les peuples autochtones sans délai. Danika espère qu’un jour elle pourra contribuer à rendre les services de santé mentale facilement accessibles aux peuples autochtones vivant dans des communautés éloignées et aider à mettre fin à la stigmatisation entourant les troubles de santé mentale en créant des pratiques culturellement appropriées avec les aînés et les communautés autochtones.
Elle est âgée de 18 ans et est diplômée de la North Battleford Comprehensive High School (NBCHS). Elle est actuellement inscrite au programme d’esthétique du Atoskewin Success Centre. Elle est l’aînée de huit enfants. Ses passe-temps incluent la peinture, la photographie, le perlage, la danse et le tir à l’arc. Elle est fière d’avoir été élevée de façon traditionnelle et elle aime apprendre de ses grands-parents des deux côtés de sa famille. Elle se sent également très chanceuse d’avoir la possibilité d’être un modèle pour ses jeunes frères et sœurs, ses cousins et ses amis. Elle a eu de nombreuses occasions d’explorer le monde qui l’entoure. Elle aspire à devenir porte-parole des Premières nations dans le domaine de l’éducation. Elle rêve qu’un jour la boucle soit bouclée : que les générations qu’elle se prépare à diriger, la dirigent un jour. Hiy Hiy, nanaskomon kakiyaw!
Mon intérêt pour devenir ambassadrice était d’améliorer ma communauté, de travailler avec les jeunes et d’apprendre plus de choses qui m’aideront à faire partie du conseil des jeunes de ma communauté.
Au cours de son enfance, il a dû faire face à des défis en matière de santé mentale, d’image corporelle et d’acceptation de soi. C’est un processus de guérison qui est toujours en cours, mais il est prêt à partager son expérience avec des jeunes pour qu’ils comprennent qu’ils ne sont pas seuls. La culture, l’éducation, les arts, les questions autochtones et l’amour de soi le passionnent. Il souhaite donner à ses pairs une certaine autonomie et les inciter à être fiers de leur identité et à être eux-mêmes en toute liberté.
Kendel a enseigné plus de 100 ateliers culturels et s’est produit dans plus de 75 communautés différentes avec les Edmonton Métis Traditional Dancers. Kendel est un modèle et un porte-parole pour les jeunes autochtones qui, au cours de ses cinq années de carrière, a acquis un ensemble de compétences pertinentes pour enseigner l’espoir, la culture et la force, y compris la pensée créative, le leadership et la planification des leçons. Dans l’ensemble, Kendel a constamment démontré ses capacités de personnalité publique et de travailleuse auprès des jeunes pour East Haven Home, de motivatrice de carrière pour East Prairie Métis Settlement et d’adjointe exécutive et coordonnatrice des bénévoles pour les Jeux autochtones de l’Alberta; toutes des entreprises appartenant à des Autochtones et exploitées par eux.
Je réside actuellement à Brandon, au Manitoba, et je vais à l’Université de Brandon, où je me spécialise en sociologie, dans le domaine de la criminalité et de la communauté, et en études autochtones. Le basket-ball et les voyages dans divers endroits en passant de New York au Mississippi, m’ont permis d’arriver ici. Et beaucoup de cérémonies et la famille m’ont aidé à vivre une vie saine. Je prends actuellement un congé du basket-ball et je poursuis mes études parce que mon but dans la vie est de redonner à la société.
La lutte contre le racisme, l’art de parler en public, le leadership et la défense des droits la passionnent beaucoup. Elle utilise sa position de coprésidente du Conseil régional des jeunes multiculturels pour partager sa voix et aider les autres à partager la leur! Aarianna a également participé au concours Miss North Ontario Regional Canada Pageant où elle a utilisé sa participation pour sensibiliser les gens aux problèmes auxquels font face les communautés autochtones. Elle espère faire la même chose grâce à son rôle d’ambassadrice de l’espoir!
Sa culture et ses antécédents en tant que personne autochtone sont une partie de sa vie qu’elle est extrêmement fière de connaître, en particulier ses racines familiales dans la Première nation Kitchenuhmaykoosib Inninuwug dans le nord de l’Ontario. Elle est âgée de 18 ans et fréquente actuellement l’Université des Premières Nations du Canada à Regina, où elle se spécialise en études autochtones. Son objectif après ses études est de poursuivre une carrière en droit, en particulier dans le système judiciaire pour les peuples autochtones. Ses principaux passe-temps sont le perlage et la boxe; un sport où elle a été non seulement une athlète, mais aussi dernièrement une entraîneuse. Étant l’aînée de trois enfants et entraîneuse à son club de boxe, elle a occupé divers rôles de leadership à la maison et dans la communauté, et le fait d’être membre de We Matter contribue au sentiment d’humilité et de fierté qu’elle éprouve à représenter sa ville natale.
Je suis née et j’ai passé ma jeunesse à Burnaby en Colombie-Britannique. À 18 ans, j’ai décidé de retourner dans ma ville natale de Port Hardy, sur l’île de Vancouver. C’est une des meilleures décisions que j’ai prises. Depuis que je suis à la maison, j’ai appris ma culture, mes traditions et ma langue. Après des années « perdue » dans la ville, je me sens enfin en paix avec moi-même à la maison.
Elle est âgée de 18 ans et suit actuellement le programme d’éducation des adultes de Peguis pour obtenir son diplôme d’études secondaires. Elle prévoit continuer ses études l’an prochain pour obtenir un diplôme en commerce et suivre un cours de langue dans lequel elle pourra apprendre le cri. Rianna s’intéresse à la créativité artistique, à la lecture et à l’écriture créative comme les histoires, les poèmes et les paroles de hip-hop. Elle aspire à créer du hip-hop dans le futur et à ouvrir son propre commerce de vente d’art et de vêtements. Elle a pour passion d’inspirer et d’habiliter les autres par ses œuvres, ses mots et sa voix. Rianna veut aider les jeunes à réaliser qu’ils ne sont pas seuls à travers les difficultés auxquelles ils peuvent être confrontés et les aider à se relever. Elle souhaite utiliser son histoire de toxicomanie, d’alcoolisme, d’automutilation, de problèmes de santé mentale et de rétablissement pour faire comprendre aux autres qu’ils peuvent eux aussi changer les choses en eux-mêmes et ne jamais abandonner.